5 août 2009
IN THE GREENEST OF OUR VALLEYS
Je ressens la nature sous ma tête. Allongée dans l'herbe je la sens qui s'agite, je l'entends qui crépite comme un feu de camps sur la fin...
Comme une dernière soirée de colo ou l'on ose enfin se faire embrasser.
Comme des premières vacances sans parents ou l'on se sent libre pour la première fois.
Et demain, au car, les yeux rougis par le chagrin, il faudra se dire au revoir "promis je t'écris" alors qu'au fond JAMAIS, on le sais bien, l'on ne se reverra...
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